Le député rappelle qu’à l’occasion de la mise à jour économique du 25 novembre, le ministre des Finances Éric Girard a annoncé plusieurs mesures visant à préserver le pouvoir d’achat des québécois.

« On parle de 740 M $ pour une prestation exceptionnelle pour le coût de la vie. Cette mesure permettra à un couple à faible revenu de bénéficier de 400 $ de plus, un montant appréciable », souligne M. Lamontagne.

Les aînés ne sont d’ailleurs pas en reste puisque la bonification du montant pour le soutien des aînés de 70 ans ou plus portera l’aide maximale à 400 $ par personne dès cette année.

Cette bonification, jumelée avec la prestation exceptionnelle, fait en sorte qu’un aîné vivant seul pourrait obtenir une aide allant jusqu’à 675 $, et pour un couple 1200 $.

Dans la foulée de son engagement électoral de brancher tous les foyers du Québec à Internet haute vitesse, le gouvernement a annoncé le volet Éclair III qui vient conclure son offensive majeure de 1,3 G$ pour le branchement de tous les citoyens.

« Je suis très fier de cet investissement. Il y a encore de nombreux résidants de la MRC d’Acton et des MRC avoisinantes qui sont encore privés d’Internet haute vitesse. Finalement, ils vont pouvoir y avoir accès », mentionne André Lamontagne.

Le député a aussi mis en relief d’autres réalisations, à l’exemple d’un investissement de 3,9 milliards $ pour s’attaquer à la rareté de main-d’œuvre dans certains secteurs, l’adoption du Plan d’action gouvernemental pour les personnes proches aidantes 2021-2026, et l’implantation progressive des bracelets anti-rapprochements pour protéger les femmes victimes de violence.

En terminant, le député Lamontagne rappelle aux citoyens de Johnson le Défi 12 $ qu’il a lancé, à titre de ministre de l’Agriculture, des Pêcheries et de l’Alimentation, pour sensibiliser les Québécois et les Québécoises. Si chaque ménage remplace chaque semaine, à l’épicerie ou au restaurant, 12 $ de ses achats de produits étrangers par des aliments du Québec, cela augmente d’un milliard de dollars par année la demande auprès des agriculteurs, des pêcheurs et des transformateurs alimentaires québécois.

« C’est l’économie de notre région et du Québec tout entier qui en sort gagnante! », conclut M. Lamontagne.