Rappelons que la Ville était allée de l’avant avec le projet alors que la demande pour l’élevage de poules pondeuses était en croissance. Il avait d’ailleurs été prévu de le concrétiser plut tôt, mais la pandémie avait changé les plans.
Le projet pilote a été réalisé de concert avec la Société de protection des animaux de Drummondville (SPAD) qui s’occupe de s’assurer que le bien-être des volailles est respecté. Pour sa part, le Service d’urbanisme de la Ville gère les autres aspects de la réglementation.
Fonctionnement
La garde de trois à cinq poules est permise si l’emplacement de la demeure et son type de construction répondent aux critères. En fait, la Ville offre 50 licences, au coût de 30 $ annuellement chacune aux résidents de la zone résidentielle, soit celles des préfixes 100 ou 500 du règlement de zonage, et propriétaires d’une habitation unifamiliale isolée érigée sur un terrain de 400 mètres carrés ou plus.
La garde de coqs, de coqs à chair, de cailles et de poussins est interdite et les poules doivent demeurer en tout temps dans leur enclos. La façon dont l’enclos doit être construit ainsi que la marche à suivre pour se départir des poules si un citoyen n’est plus intéressé par ce projet sont détaillées sur la page du site Internet de la Ville consacrée au projet pilote.