« C’est un bon départ et on espère bien sûr augmenter le nombre de producteurs durant les prochains mois. Nous souhaitons également créer une banque de bénévoles d’ici le printemps pour des opérations ponctuelles d’arrachage de nerprun », affirme Ariane Blier-Langdeau, biologiste et chargée de projet pour l’OBV Yamaska.
Par ailleurs, une activité de formation gratuite aura lieu le 31 mai.
« Les détails seront dévoilés plus tard, mais la formation sera animée par François Hébert, biologiste et ingénieur forestier au ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs. On en apprendra davantage sur les moyens d’identifier le nerprun, en plus d’appliquer correctement les méthodes de contrôle », indique Mme Blier-Langdeau.
Cette dernière rappelle que le nerprun a un impact majeur au niveau écologique et économique.
« Quand ces espèces s’installent dans un milieu, elle prennent toute la place en altérant les propriétés du sol. C’est une menace grandissante qu’il faut prendre au sérieux », conclut Mme Blier-Langdeau.
Pour obtenir des conseils ou communiquer des informations sur la présence de nerprun, contactez Ariane Blier-Langdeau à ariane.blier-langdeau@obv-yamaska.qc.ca ou au 450 956-1164.