Pour une résidence valant 179 945 $, le compte de taxes pour les citoyens du secteur résidentiel est établi à 2 036,98 $, contre 2 011,17 $ en 2018. C’est une hausse de 25,81 $, soit 1,28 %. En milieu rural, le compte s’élève à 1 600,94 $ contre 1 559,82 $, une augmentation de 41,11 $ (2,64 %).

Le taux de taxes foncières passe de 70,25 $ à 72,25 $, pour une augmentation de 3 %. La taxe d’eau est de 158 $, contre 150 $ en 2018. Les taxes d’égout (97 $), de résidus domestiques (86 $), de résidus organiques (40 $) et de fosses septiques (88 $), ont été gelées, alors que celle pour les résidus recyclables (21 $, contre 30 $ l’an dernier) est en baisse.

« Notre budget est indexé au coût de la vie, ce qui nous paraît raisonnable. La Ville continue de préconiser une gestion serrée de ses dépenses », souligne le maire Éric Charbonneau.

Les revenus et dépenses sont évalués à 10 128 731 $. Le remboursement de la dette à long terme (environ 11,5 M$) est établi à 750 450 $.

Pour 2019, les principaux investissements seront la construction d’un gymnase multifonctionnel (5 861 400 $) et la réfection des infrastructures de la rue de Roxton (3 550 000 $).

Le travail d’embellissement de la ville se poursuit (mise en valeur des parcs et bâtiments, amélioration de la signalisation), de même que les efforts en développement économique.

« Nous désirons plus que jamais attirer tous les types d’investisseurs. C’est pourquoi en 2019, nous continuerons de travailler sur le projet de construction d’une nouvelle rue dans le parc industriel », conclut M. Charbonneau, qui ajoute que l’obtention de subventions permet de réduire de beaucoup la facture reliée aux chantiers routiers.