Des autocollants et des uniformes, en plus d’une pancarte de circonstance, ont permis de démontrer la déception des paramédics, affiliés à la Fraternité des travailleurs et travailleuses du préhospitalier du Québec, quant à leurs conditions de travail actuelles.
« Nous avons obtenu une hausse du salaire de 2 %, ce qui est en bas du taux d’inflation. Ce n’est pas très attirant alors que la pénurie de main-d’œuvre nous touche vraiment beaucoup. On ne veut pas mettre en jeu la vie de la population en jeu », explique le délégué syndical Michael Bédard.
Les services essentiels sont maintenus, mais les actions syndicales sont de nature administrative.