Dix personnes à la fois pourront ainsi découvrir ou redécouvrir le musée situé à Valcourt, pour une expérience d’une durée de deux heures.

« Depuis notre réouverture le 22 juin, tout se déroule bien. Les visiteurs sont en général très compréhensifs malgré les mesures sanitaires, dont la distanciation de deux mètres, le lavage des mains et le parcours dirigé avec l’aide d’indications au sol. Un entre- tien régulier des lieux est par ailleurs effectué par notre personnel. On reçoit un maximum de 60 personnes par jour afin que ça soit vraiment sécuritaire. Et en réservant à l’avance, on évite les files d’attente », mentionne la directrice générale Carol Pauzé.

La visite débute dans le premier garage du célèbre inventeur Joseph- Armand Bombardier, avec la présen- tation du théâtre d’objets La passion d’une vie. Le spectacle multimédia La passion d’entreprendre, réalisé par Moment Factory, et l’exposition

Passion d’innover font aussi partie de la visite.

La nouvelle exposition temporaire Confortable? Testez vos transports fait également partie du circuit. Les visi- teurs seront invités à jouer le rôle de testeurs, en plus d’en apprendre davan- tage sur les améliorations du confort des utilisateurs de transports grâce aux innovations des ingénieurs et designers.

« Cette exposition fait appel à nos sens, en démontrant entre autres l’apport des recherches en acoustique et en ergonomie afin d’améliorer le confort des véhicules, que ce soit par exemple en métro, en motomarine ou sur une motoneige. C’est très inter- actif et ça intéressera un large public », souligne Mme Pauzé.

Avec en plus une exploration de la réserve du musée, pleine de véhicules souvent méconnus, Carol Pauzé est convaincue que cette visite intimiste du Musée de l’ingéniosité J. Armand Bombardier sera très enrichissante.

« Nous suggérons par la suite à nos visiteurs de traverser la rue Saint- Joseph pour aller admirer l’exposition Le Cycle de la vie, en cours au Centre culturel Yvonne L. Bombardier. Ça complète à merveille un beau moment au musée », conclut Mme Pauzé.